Pour limiter son impact environnemental, Volkswagen n'est pas à côté de la plaque.
Concilier satisfaction client et préservation de l’environnement ? L’histoire du jour nous démontre en effet que cet objectif est une réalité au sein de Volkswagen Group France, y compris quand il s’agit à première vue d’un banal accessoire automobile…
Comme une plaque d’immatriculation par exemple.
Vous pensiez que toutes les plaques se ressemblent ? Vous n’y êtes pas. Une étude présentée au Département Pièces et Service par Faab-Fabricauto, leader français de la fabrication de plaques minéralogiques, nous le démontre chiffres à l’appui. Faab- Fabricauto a comparé le cycle de vie des plaques Plexiglas et aluminium et après avoir mesuré l’empreinte carbone de ces deux solutions le résultat est tombé. Les gaz à effet de serre générés par un modèle en plastique sont cinq fois plus élevés que ceux d'un modèle en aluminium. Encore mieux : contrairement à son homologue issu de la pétrochimie, une plaque en aluminium peut être recyclée à l’infini, ce qui limite encore son impact environnemental. Rappelons que plus de 50 % de l'aluminium qui est utilisé en Europe provient de recyclage.
Fidèles aux engagements RSE de la marque, le groupe et le Département Pièces et Service ont répercuté l'information au niveau du réseau de réparateurs agréés qui a immédiatement été séduit par cette nouvelle opportunité.
À l'échelle du marché national, ce simple changement représente en effet une économie annuelle de plus de 8 millions de kilos de CO2 soit l'équivalent de 16 millions de gobelets en plastique jetables.
DES CHIFFRES QUI COMPTENT.
- Une plaque en aluminium à la place d'une plaque en plastique = 8 millions de kg de CO2 d’économie par an.
- Soit 16 millions de gobelets en plastique.